Background

Dans leurs efforts d’appui à la stabilisation de l’Est, le PNUD et la FAO ont reçu du gouvernement hollandais un financement pour la mise en œuvre d’une deuxième phase du «Projet d’Appui à la Stabilisation au Sud Kivu, par le relèvement socio-économique durable et le renforcement des capacités de prévention et résolution des conflits des populations (locales, retournées, rapatriées et relocalisées) dans les zones de retour situées autour de l’axe Miti-Hombo». L’UNICEF a quant à elle, reçu un financement du Gouvernement de la SUEDE (SIDA) pour son paquet d’activités de son Programme Elargie d’appui au Retour de Stabilisation et Consolidation de la Paix (PEAR + 2).

Les deux financements sont combinés dans un seul projet conjoint PNUD/FAO/UNICEF et ce projet est mis en place dans les zones de retour sur l’axe Miti-Hombo au Sud Kivu et valorise les complémentarités des mandats des trois agences et les valeurs ajoutées de leurs expériences. Il vise le relèvement socio-économique, l’amélioration du bien-être des populations et le renforcement des capacités de prévention et résolution des conflits locaux, tout en rendant les communautés cibles plus résilientes aux impacts des conflits externes. Ce programme s’inscrit dans le cadre de la stratégie Internationale d’appui à la sécurité et à la stabilisation (I-SSSS) et du Plan pour la Stabilisation et la Reconstruction des Zones sortant des conflits armés (STAREC) du gouvernement congolais.

Pour mettre en œuvre leurs projets de manière efficace, les agences accordent une importance accrue à l’évaluation des produits, effets et impacts des interventions ainsi qu’à la mesure des changements induits en faveur des populations locales. A cette fin, il est nécessaire de pouvoir posséder des informations et des indicateurs précis sur les secteurs concernés par le projet, et une stratégie de suivi-évaluation qui permettent de mesurer les changements intervenus attribuables à ce projet conjoint. D’où la nécessité de faire une situation de référence servant de point de départ à la  phase 2.

L’objectif global de la présente étude y afférente, est donc d’élaborer la situation de référence du projet.

La situation de référence sera un travail d’ensemble mais fera ressortir les données spécifiques aux domaines d’intervention des trois agences d’exécution du projet tout en y incluant des indicateurs reflétant la synergie. Le système de suivi-évaluation commun aux trois agences, doit permettre de dégager des indicateurs spécifiques à chaque secteur d’intervention ainsi que sur des aspects transversaux.

Les Objectifs de l’étude

L’étude sera structurée autour de deux objectifs principaux:
  • Elaborer la situation de référence du projet conjoint phase 2, afin de faire ressortir les données pouvant orienter la synergie des trois agences d’exécution;
  • Définir le système de suivi-évaluation du projet conjoint, axé sur les résultats de développement.
Plus spécifiquement l’étude vise les objectifs suivants:

Concernant l’élaboration de la situation de référence du projet:

  • Avec les Agences concernées .le consultant devra proposer des indicateurs plutôt transversaux qui aideront mesurer les changements observés sur base des activités de synergies et complémentaires des 3 Agences en lien avec les indicateurs de ISSSS;
  • Collecter et analyser les données permettant de renseigner les indicateurs définis afin d’obtenir leur niveau de référence au démarrage du projet;
  • En collaboration avec la FAO, réaliser une étude de sécurité alimentaire afin de fournir des bases pour l’amélioration des moyens d’existence;
  • Analyser les filières de production agricole manioc et palmier à huile afin d’identifier les goulots d’étranglement et les actions à entreprendre pour favoriser leur relance;
  • Proposer / harmoniser avec l’UNICEF sur les Indicateurs de résultat qui vise à suivre la perception communautaire en termes de gouvernance, cohésion sociale, réduction des risques et Résilience dans les différents structures sociaux de base;
  • En référence à l’étude initiale de SFCG, le consultant établira l’état de lieux de la problématique de sensibilité aux conflits, des mécanismes locaux de gestion pacifique des conflits ; et formulera des indicateurs de performance y afférant;
  • Elaborer un rapport qui présente la situation de référence du projet : il inclura les niveaux de référence des indicateurs du projet, ainsi que les résultats des études sectorielles.

Concernant la définition du système de suivi-évaluation du projet;

  • Pour chaque indicateur retenu plus haut, développer un plan de suivi et de collecte des données. Il s’agira notamment de définir les fréquences de collecte, les zones et le niveau de collecte (groupement, aires de santé, localité, ….), la source de collecte, les responsables de la collecte et les sources de vérification. A partir des résultats de la situation de référence, les agences fixeront les cibles à atteindre en fin de projet;
  • Les méthodes de collecte et de traitement des données, devront également être élaborées.
Règles à respecter pour les indicateurs:

Les indicateurs des activités qui devront permettre à la fois un suivi et une évaluation des effets des actions conjointes de 3 agences à travers une méthode participative. Des indicateurs plus transversaux doivent également être définis afin de permettre d’évaluer l’apport spécifique de la mise en œuvre d’un projet commun non seulement concernant les objectifs du projet lui-même mais de manière plus générale concernant la stabilisation et le relèvement socio-économique dans les zones ciblés.

Les indicateurs devront être SMART et doivent pouvoir être désagrégés par genre afin de mesurer l’impact spécifique du projet sur les hommes et les femmes, les jeunes filles et les garçons. Il devra y avoir aussi bien des indicateurs quantitatifs par des enquêtes légères, et qualitatifs par des focus groups ou des entretiens. La liste des indicateurs définis, tout en permettant de mesurer les résultats obtenus, ne doit pas être trop longue afin de pouvoir être réellement utilisable. La fréquence de collecte des indicateurs devra être définie en tenant compte de l’utilisation qui sera faite des données recueillies (est-ce que ces données doivent permettre d’orienter les décisions prises), de la facilité de collecte des données, des moyens prévus pour le suivi-évaluation au sein du projet.

Duties and Responsibilities

Les tâches et fonctions du consultant

Le consultant travaillera sous l’autorité générale du Coordonnateur de la composante Moyens d’existence durables et développement local du PNUD du Sud Kivu et sous la supervision des experts en Suivi et Evaluation UNICEF/FAO/PNUD, en étroite collaboration avec le Lead du projet conjoint.

Le consultant travaillera sur le terrain avec les experts de projets de la FAO et de l’UNICEF et du PNUD pour la collecte de données, quant à l’UNICEF, le consultant devra à partir des réunions tenues en bilatéral avec l’UNICEF recruter les personnes qui l’aideront à récolter les informations sur tous les volets. Il veillera aussi à prendre en compte la réalisation des études sectorielles existantes. Le consultant devra tenir des réunions conjointes et en bilatéral avec l’UNICEF, le PNUD et la FAO pour lister les indicateurs clés à récolter sur le terrain ; il tiendra aussi d’autres réunions avec les services étatiques impliqués dans le projet (IPS, EPSP, DIVIGENRE, IPAPEL, DIVIPLAN, Dév. Rural …).

Au cas où les partenaires d’exécution des projets pour les 3 Agences seraient déjà identifiés, le consultant prendra soin de travailler avec eux afin qu’il y ait une cohérence dans la méthodologie de suivi-évaluation.

Une attention particulière devra être accordée à l’aspect genre et équité et l’ensemble des données collectées ainsi que les analyses réalisées devront indiquer la manière dont les femmes et les hommes sont différemment (ou non) affectés par les interventions du projet.

Les tâches du consultant devront couvrir les aspects suivants:

Concernant l’élaboration de la situation de référence du projet:

Pour la collecte et l’analyse des données:
  • Effectuer les missions de terrain dans les zones ciblées afin de collecter les données nécessaires pour renseigner les indicateurs préalablement définis ainsi que pour avoir des données sur la situation socio-économique des zones ciblées selon la méthode prédéfinie (entretiens, focus groups, ..);
  • Procéder à l’analyse des données traitées en présentant les différences constatées pour les hommes et les femmes.
Pour l’élaboration de l’étude économique (PNUD) (relancer les études sur l’inventaire et l’analyse des filières):
  • Effectuer une analyse économique de la rentabilité de ces 2 filières (palmier à huile et manioc) ainsi que d’autres activités économiques appuyées dans la première phase ; et identifier le goulot d’étranglement dans leur développement.
Pour l’élaboration de l’étude de sécurité alimentaire (FAO):
  • Effectuer les missions nécessaires afin de mesurer comment la phase 1 apporté des changements dans l’alimentation des populations afin de fournir des bases pour l’amélioration des moyens d’existence.
Pour l’élaboration de l’étude sur les services sociaux de base (UNICEF):
  • Effectuer les missions nécessaires afin de réaliser une étude de la disponibilité, l’accès et le fonctionnement des services sociaux de base;
  • Faire des évaluations participatives avec les bénéficiaires dans les écoles, les centres de santé ……afin de se rendre compte de l’impact des infrastructures sur le taux de scolarisation des filles et des garçons, la cohésion sociale et la prévention des conflits, la Gouvernance, le Mouvement de populations et de Réduction de risques et de Résilience.

Concernant la définition du système de suivi-évaluation du projet :

Pour la liste des indicateurs du projet (en collaboration étroite avec les responsables du PNUD):
  • A partir de la liste des indicateurs du Document de Projet (essentiellement indicateurs de produits), élaborer en collaboration avec l’équipe du projet Conjoint une liste d’indicateurs (produits, effets, impacts) SMART pour le projet. Cette liste d’indicateurs devra obligatoirement être validée de manière conjointe par le PNUD, la FAO et l’UNICEF.
Pour le plan de suivi des indicateurs:
  • Elaborer le plan de collecte de ces indicateurs pour la durée totale du projet. Ce plan, sera élaboré à partir des outils déjà existants et choisis par le Suivi/Evaluation des projets mis en place par les partenaires au niveau du PNUD/FAO/UNICEF et pour d’autres projets exécutés par ces agences afin d’assurer une homogénéité des outils;
  • Elaborer les outils nécessaires à la collecte des indicateurs et à leur traitement (sous forme informatique). Ces outils devront être validés conjointement par toutes les agences et au finish par le PNUD et leurs versions finales seront remises au PNUD pour permettre la collecte et le traitement réguliers des indicateurs. Ces outils devront prévoir la prise en compte du genre et les indicateurs devront pouvoir être désagrégés par sexe pour chaque secteur si possible;
  • Produire un rapport qui présentera le plan de suivi des indicateurs. Il inclura notamment la liste exhaustive des outils produits et utilisés pour la collecte, le traitement et l’analyse des données. Ce plan de suivi des indicateurs du projet inclura les valeurs de référence des indicateurs ainsi que les valeurs ciblent en fin de projet. Il devra notamment inclure pour chaque indicateur: la fréquence de collecte, la source de collecte, les responsables de la collecte, le moyen de vérification;
  • Réaliser un atelier de restitution et de discussions de résultats de l’étude en impliquant les partenaires importants du Projet conjoint;
  • Rédiger un rapport d’étude intégrant les recommandations de la restitution, présenter et diffuser ce rapport auprès des structures concernées.
Méthodologie de l’étude

La situation de référence dans les zones d’intervention du projet conjoint doit émaner des populations elles-mêmes et non des hypothèses pré-formulées dans le prodoc. C’est pour cette raison qu’une approche participative devra être utilisée par l’équipe dans le cadre de l’enquête menée, ce qui va permettre aux groupes cibles de s’exprimer et de formuler eux-mêmes les critères sur le niveau d’amélioration des moyens d’existence durables dont le capital humain (santé), le capital social (le niveau d’organisation des agriculteurs, ), le capital naturel (l’eau, le bétail, …) ? Est-ce que avant le projet il y avait des conflits ? Ou après ? Comment était le niveau de cohésion sociale ? Quelles étaient les causes réelles de conflits ? Le projet a –il suffisamment remédié à ces celles-ci ? (s’il y a un indicateur y afférent)
Afin d’intégrer les différents points de vue, l’enquête sera menée aux différents niveaux sollicités par les termes de références, notamment le niveau des groupements, et des villages et des ménages.
La méthode de collecte de données sur le terrain est basée sur 4 éléments d’appréciation à savoir :

Approche méthodologique pour la situation de référence:

Cette approche sera divisée en plusieurs parties:
  • Une partie qualitative avec les comités locaux de paix, les comités villageois de développement, les Centres communautaires polyvalents, les association des parents d’élèves, des OP, et des éleveurs/agriculteurs, personnels enseignants les interviews semi structurées en utilisant des questions guides qui laissent de l’espace à des réflexions spontanées de la part des enquêtés pour qu’ils expriment leur propre point de vue ;
  • Une partie quantitative avec des questionnaires structurés au niveau des ménages pour compléter des informations recueillies au cours de l’enquête avec plus de précision;
  • Des entretiens semi-structurés au niveau territorial, des groupements et des villages, avec les services techniques, les autorités administratives (administrateurs, les chefs de poste, et les chefs de groupement) et les partenaires au développement (les collaborateurs programme et d’autres projets/ONG) pour faire la comparaison des données collectées sur le terrain par l’équipe;
  • L’exploitation des documents disponibles (les statistiques nationales sur la pauvreté, des documents du programme du projet conjoint etc.) en vue de disposer d’informations supplémentaires.
La triangulation à travers ces 4 éléments ci-dessus cités va permettre de comparer les données collectées et celles existantes au niveau provincial, territorial, et des projets/ONG pour faire ressortir des contradictions possibles pour ou infirmer confirmer les résultats de l’enquête.

Zone d’enquête et critères de sélection:

La zone d’enquête est globalement circonscrite dans le document de projet mais les sites précis seront présélectionnés par l’équipe du projet conjoint selon les critères de représentativité validés par les experts du projet. Ces critères vont en même temps englober les facteurs les plus importants sur le niveau de vie et de pauvreté; le niveau de cohésion sociale.

Les outils à utiliser :

Pour l’enquête dans les localités, les instruments qualitatifs et quantitatifs qui seront utilisés s’orienteront ou s’inspireront du modèle de MAPP (Method for Impact Assessment of Programs and Projects) pour les groupes tels que les assemblées générales des CCP, des CVD, Comités locaux permanents de paix, les associations des parents d’élèves, des enseignants, les organisations paysannes, des producteurs, etc.

Les focus groups et interviews individuelles au niveau des ménages seront faits. Des questionnaires structurés vont permettre de collecter des données d’ordre général sur : la taille des ménages, la production agricole, les revenus monétaires et non-monétaires, sur la sécurité alimentaire, l’accès à l’éducation, à l’eau, aux soins de santé, etc..

S’agissant de la cohésion sociale, l’étude va utiliser trois sources d’informations : Questionnaire, Focus groups et Entretiens individuels.

Les Résultats attendus de l’étude

Un rapport présentant la situation de référence du projet. Il inclut:
  • les valeurs de référence des indicateurs
  • les résultats des études sectorielles sur la sécurité alimentaire, l’éducation, santé et cohésion sociale
  • des analyses pour les 4 secteurs ciblés et une analyse globale de la situation actuelle dans la zone d’intervention et du contexte actuel qui tiennent compte des derniers développements en matière de sécurité.
  • L’exploitation des études FAO, SFCG pour l’étude de base
Un rapport présentant le système de suivi et évaluation du projet. Il inclut notamment:
  • la liste validée des indicateurs du projet conjoint en matière de relance de l’économie, d’accès aux services sociaux de base, cohésion sociale et bonne gouvernance;
  • le plan de suivi et de collecte des indicateurs, incluant les outils nécessaires à la collecte et le traitement des données
  • les valeurs de référence et les cibles à atteindre en fin de projet
Durée et Localisation

L’étude s’étendra sur une durée maximale de 45 jours y compris la phase préparatoire, la phase de collecte des données sur le terrain, de traitement et d’analyse des données et celle du rapportage et restitution.

Le consultant débutera par un travail avec l’équipe du PNUD Pauvreté au Sud-Kivu, basée à Bukavu, et par des rencontres avec les équipes de la FAO et de l’UNICEF à Bukavu, avant de poursuivre les visites dans la zone ciblée. Un calendrier précis des déplacements pourra être élaboré en collaboration avec les équipes de terrain.

Competencies

Compétences générales:
  • Démontrer une intégrité en accord avec les valeurs et les normes éthiques de l’ONU;
  • Faire le plaidoyer pour la vision, la mission et les buts stratégiques du PNUD;
  • Montrer une flexibilité et une adaptabilité aux aspects culturels, de genre, de religion, de race, de nationalité et d’âge.
Compétences fonctionnelles:
  • Avoir une bonne connaissance du contexte et des enjeux locaux (économique, social, politique…);
  • Avoir une connaissance complémentaire ou expérience dans le domaine de l’évaluation en zone post-conflit.

Required Skills and Experience

Education:
  • Etre titulaire d’un diplôme universitaire de licence ou maitrise en sociologie (du développement), sciences sociales, ou dans tout autre domaine pertinent.
Expérience:
  • Justifier d’au moins 7 ans d’expérience dans le domaine de l’évaluation de projets dans les pays en développement, programmes de pacification;
  • Justifier d’une expérience confirmée dans la réalisation des missions similaires.

Langues requises: 

  • Une excellente maîtrise de la langue française est exigée. Une bonne connaissance de l’anglais écrit et parlé et la connaissance des langues locales seraient considérées comme un avantage.

Instructions aux soumissionnaires:

Les documents suivants à télécharger à partir de l'Appel à Proposition joint à cette invitation sur le site Procurement du PNUD: http://procurement-notices.undp.org/view_notice.cfm?notice_id=12808, vous permettront de préparer votre proposition:

  • Conditions générales du Contrat;
  • P11 (SC & IC);
  • Tableau des Coûts;
  • Termes de référence.

Prière envoyer vos propositions (techniques et financières) dûment signée à l’adresse e-mail ic.soumission.cd@undp.org avec mention de la référence et intitulé du dossier (IC/CIDD/200/2013). Votre proposition devra être reçue au plus tard le 30 Septembre 2013 à 15h00 TU+1. Le PNUD répondra à toutes demandes de clarification lui parvenant au plus tard le 27 Septembre 2013 à 12h00 TU+1 à l’adresse de messagerie soumission.info@undp.org; merci d’indiquer la référence du dossier.

Documents constitutifs de l’Offre:

Pour démontrer leurs qualifications, les consultants devront soumettre une offre qui comprendra les documents suivants:

  • Note méthodologique pour l’exécution de la mission attendue (Méthodologie de travail, Réalisation des livrables attendus, Calendriers d’exécution conformément aux TDRs,…): (1) Une note de motivation dans laquelle vous démontrez que vous êtes le meilleur candidat pour le poste; (2) La démarche ou approche, les outils ainsi que les tâches que vous comptez mettre en œuvre pour réaliser la mission;
  • Remplir le formulaire de P11 en y incluant surtout votre expérience des missions similaires et indiquant au moins 3 (trois) personnes de référence;
  • Soumettre les copies de vos diplômes;
  • Remplir le tableau des coûts.

La proposition financière:

Le consultant fait sa proposition financière suivant le Tableau des coûts. Il doit proposer un montant forfaitaire et présenter dans le Tableau des coûts la ventilation de ce montant forfaitaire (en y incluant les éléments qui le composent à savoir les frais de voyage, les indemnités journalières/perdiems et le nombre de jours de prestation).

Les propositions incomplètes ne respectant pas ces instructions seront rejetées.