- UNDP around the world
close
Many of UNDP's relationships with countries and territories on the ground exceed 60 years. Find details on our successes and ongoing work.
- Afghanistan
- Albania
- Algeria
- Angola
- Argentina
- Armenia
- Azerbaijan
- Bahrain
- Bangladesh
- Barbados
- Belarus
- Belize
- Benin
- Bhutan
- Bolivia
- Bosnia and Herzegovina
- Botswana
- Brazil
- Bulgaria
- Burkina Faso
- Burundi
- Cambodia
- Cameroon
- Cape Verde
- Central African Republic
- Chad
- Chile
- China
- Colombia
- Comoros
- Congo (Dem. Republic of)
- Congo (Republic of)
- Costa Rica
- Côte d'Ivoire
- Croatia
- Cuba
- Cyprus
- Democratic People's Republic of Korea
- Denmark (Rep. Office)
- Djibouti
- Dominican Republic
- E.U (Rep. Office)
- Ecuador
- Egypt
- El Salvador
- Equatorial Guinea
- Eritrea
- Ethiopia
- Fiji (Multi-country Office)
- Finland (Rep. Office)
- Gabon
- Gambia
- Geneva (Rep. Office)
- Georgia
- Ghana
- Guatemala
- Guinea
- Guinea-Bissau
- Guyana
- Haiti
- Honduras
- India
- Indonesia
- Iran
- Iraq (Republic of)
- Jamaica
- Jordan
- Kazakhstan
- Kenya
- Kosovo (as per UNSCR 1244)
- Kuwait
- Kyrgyzstan
- Lao PDR
- Lebanon
- Lesotho
- Liberia
- Libya
- Madagascar
- Malawi
- Malaysia
- Maldives
- Mali
- Mauritania
- Mauritius & Seychelles
- Mexico
- Moldova
- Mongolia
- Montenegro
- Morocco
- Mozambique
- Myanmar
- Namibia
- Nepal
- Nicaragua
- Niger
- Nigeria
- Norway (Rep. Office)
- Pakistan
- Panama
- Papua New Guinea
- Paraguay
- Peru
- Philippines
- Programme of Assistance to the Palestinian People
- Romania
- Russian Federation
- Rwanda
- Samoa (Multi-country Office)
- São Tomé and Principe
- Saudi Arabia
- Senegal
- Serbia
- Sierra Leone
- Somalia
- South Africa
- South Sudan
- Sri Lanka
- Sudan
- Suriname
- Swaziland
- Sweden (Rep. Office)
- Syria
- Tajikistan
- Tanzania
- Thailand
- The former Yugoslav Republic of Macedonia
- Timor-Leste
- Togo
- Tokyo (Rep. Office)
- Trinidad and Tobago
- Tunisia
- Turkey
- Turkmenistan
- Uganda
- Ukraine
- United Arab Emirates
Regional Presence
Much of UNDP’s work is administered through 5 regional bureaus. - About Us
- Publications
- News Centre
- Multimedia
Consultant National Junior | |
Advertised on behalf of :
![]() | |
Location : | Bangui, CENTRAL AFRICAN REPUBLIC |
Application Deadline : | 29-Sep-23 (Midnight New York, USA) |
Time left : | 2d 17h 3m |
Additional Category : | Gender Equality |
Type of Contract : | Individual Contract |
Post Level : | National Consultant |
Languages Required : | French |
Starting Date : (date when the selected candidate is expected to start) | 01-Oct-2023 |
Duration of Initial Contract : | 6 Months |
UNDP is committed to achieving workforce diversity in terms of gender, nationality and culture. Individuals from minority groups, indigenous groups and persons with disabilities are equally encouraged to apply. All applications will be treated with the strictest confidence. UNDP does not tolerate sexual exploitation and abuse, any kind of harassment, including sexual harassment, and discrimination. All selected candidates will, therefore, undergo rigorous reference and background checks. |
Background |
|||||||||||||||||||||||||
La République Centrafricaine à l’instar des autres pays du monde, a souscrit aux engagements internationaux en adhérant à plusieurs instruments juridiques relatifs à la promotion et à la protection des droits humains incluent de façon spécifique les droits des femmes et parmi lesquels figurent les instruments principaux et universellement reconnus dont la déclaration universelle des droits de l’Homme du 10 décembre 1948, les Pactes internationaux relatifs aux droits socio-économique, politiques et culturels de 1966, la Convention portant sur l’abolition de l’esclavage et de la torture, la convention sur l’élimination de toutes les formes discriminations à l’égard des femmes(CEDEF) etc… Cette adhésion s’est matérialisée par l’incorporation desdits instruments dans le droit positif et le pays a opté pour le principe de la supériorité des traités et conventions aux lois nationales (article 94 de la constitution du 30 mars 2016). Il faut relever que malgré la domestication, plusieurs limites continuent de freiner la protection et la promotion effective des droits des personnes particulièrement les droits des femmes compte tenu du contexte à la fois politique instable ayant occasionné l’insécurité et de nombreuses violations de leurs droits. Il convient de relever que les femmes en République Centrafricaine représentent 62% de la population mais elles restent la couche de la population la plus en retard en termes d’avancement. Au niveau de la scolarisation on peut observer que les filles n’ont pas les mêmes opportunités que les garçons à tel point qu’elles sont les moins scolarisées. Le taux d’analphabétisme est très élevé chez les femmes soit 68% contre 46,2% chez les hommes et la proportion des femmes n’ayant pas du tout eu accès à l’instruction est de 80% de femmes chez 15-49 ans ». La participation des femmes dans les instances de prise de décision évolue aussi lentement, leur taux de participation dans les instances telles que l’Assemblée nationale, le gouvernement, le secteur de la justice et autres n’atteint pas encore le quota de 35% fixé par la loi sur la parité[1] . Elles restent aussi les plus touchées par les violences basées sur le genre avec une hausse constante de violations de leurs droits[2]. Il y’a aussi les barrières structurelles et culturelles au sein de la société qui les empêchent de faire valoir leurs droits.
[1] Voir le rapport d’étude sur la typologie et l’ampleur des VBG en RCA menée en mars 2017 par la commission nationale centrafricaine pour l’UNESCO [2] GBVIMS a indiqué 11.592 cas de VBG signalés, soit une augmentation de 26 % des cas rapportés en 2020 et dont la grande partie (95%) des survivants des cas de VBG rapportés étaient des femmes et des filles qui ont subi une ou plusieurs types de violences basées sur le genre) Depuis plusieurs années, ONU Femmes supporte le gouvernement centrafricain dans l’avancée de la parité et de l’autonomisation de la femme.Dans le cadre de son mandat pour la promotion de l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes, grace au financement de son bureau siège a réalisé en 2018, une étude , à travers une revue documentaire et une consultation des acteurs concernés qui a permis de procéder à une analyse du cadre normatif national en identifiant les éléments défavorables à l’égard de la femme. Cette étude a permis également de non seulement déceler les faiblesses, les insuffisances des normes juridiques mais elle a donné lieu à la formulation d’un certain nombre de recommandations traduites dans un plan d’action qui définit des lignes d’action aux acteurs concernés pour permettre la promotion et la protection des droits des femmes en Centrafrique. Pour la mise en œuvre des recommandations de l’étude à travers son plan d’action, le bureau d’ONU Femmes prévoit d’appuyer le Ministère de la Justice dans le plaidoyer pour la reforme/révision des textes juridiques au niveau national en vue de promouvoir l’égalité des sexes et l’épanouissement de la femme en engageant un(e) consultant(e) national(e) junior qui travaillera en collaboration avec le/la consultant(e) International(e) pour la conduite de cette mission.
|
|||||||||||||||||||||||||
Duties and Responsibilities |
|||||||||||||||||||||||||
OBJECTIFS DE LA CONSULTATION L'analyse des textes issus du droit positif centrafricain avait permis d’explorer une évaluation de leur sensibilité au genre et a mis en évidence des dispositions discriminatoires et des lacunes qui nécessiteraient d'être abrogées, modifiées ou promulguées dans le cadre d'un processus de réforme législative. L’objectif global de la mission actuelle consiste donc à recruter un(e) consultant(e) national(e) junior qui appuiera le ministère de la Justice dans la mise en oeuvre du plan d’action issue de ladite étude, la proposition de révision des textes/lois défavorables à l'égard des femmes conformément aux recommandations de l’étude et au plan d’action. METHODOLOGIE Sous la Coordination du Représentant Pays d’ONU Femmes et la supervision générale du Chargé de programme Elimination des Violences faites aux femmes, le/la Consultant(e) International(e) exploitera les recommandations du diagnostic des lois discriminatoires à l’égard des femmes ainsi que le Plan d’Action afin de mieux orienter ses interventions auprès du Ministère de la Justice ainsi que d’autres partenaires gouvernementaux. Dans la phase préliminaire de sa mission, le/la consultant(e) devra effectuer une analyse et l’état des lieux des dispositions actuelles en cours de révision pour cibler les textes qui nécessitent une revue et éviter toute duplication. Le/consultant(e) sera basé au sein du Ministère de la Justice et organisera des sessions de travail avec les parties prenantes à travers des réunions, focus groupe et une revue documentaire pour l’atteinte des résultats de sa mission. Il/elle travaillera aussi en étroite collaboration avec les Ministères de la promotion de la femme, de la famille et de la protection de l’enfant, ainsi que les acteurs du système des Nations Unies et des organisations internationales. Le/La consultant(e) rendra un rapport final de sa mission validé par ONU Femmes et les parties prenantes. RESULTATS CLES ATTENDUS
Durée de l'affectation : 6 mois LIVRABLES
|
|||||||||||||||||||||||||
Competencies |
|||||||||||||||||||||||||
Le/la consultant(e) national(e) devra faire preuve des compétences suivantes : Compétences de base :
Compétences fonctionnelles
Valeurs fondamentales :
| |||||||||||||||||||||||||
Required Skills and Experience |
|||||||||||||||||||||||||
Education:
Experiences:
Exigences linguistiques :
|
|||||||||||||||||||||||||
If you are experiencing difficulties with online job applications, please contact the eRecruit Helpdesk.