Background

En dépit de la tension politique et de l’exacerbation des clivages sociopolitiques en Guinée, les élections présidentielles de novembre 2010 ont posé le premier jalon dans la sortie de la transition (2008-2009). Cette élection qui a bénéficié du soutien technique et financier de la Communauté internationale a permis au pays de renouer avec les institutions de financement dont ceux de Bretton Woods. Les élections législatives devraient permettre à la suite des présidentielles de parachever la transition au cours du premier semestre de l’année 2011. La perspective de ces élections a été annoncée et cependant reportée trois fois de suite par la CENI. Malgré des préparatifs techniques à finaliser pour permettre la tenue de ces échéances, la classe politique s’était polarisée autour de questions essentielles portant sur les modalités de révision du fichier électoral, la composition de la CENI et le respect des libertés politiques.

A la suite d’un dialogue politique de près de trois mois de décembre 2011 à février 2012 regroupant l’administration et la classe politique, un consensus a été obtenu sur certains points de revendication majeures, il s’agit notamment de l’unanimité sur la nécessité d’un exercice de vérification indépendant du fichier électoral, du respect de l’autorité de l’Etat, de la liberté d’exercice des activités politiques, du libre accès par les partis politiques aux médias publics, de la neutralité de l’administration, de la recomposition des démembrements de la CENI, de l’amendement de l’article 162 du code électoral attribuant au président de la CENI des pouvoirs d’annulation des procès-verbaux de centralisation des votes. Sur la portée des activités à entreprendre sur le fichier électoral, le dialogue politique a dégagé un consensus pour une opération de révision conformément au Code électoral.

Dans ce contexte, le 27 avril 2012 le Président de la République n'a pas pris le décret de convocation du corps électoral le 8 juillet 2012, en estimant que les conditions techniques n'étaient pas réunies, et a appelé la CENI à œuvrer à la finalisation d’un nouveau chronogramme réaliste. Il a invité également à la mise en place d’un espace permanent inclusif de concertation entre la CENI, les partis politiques et les partenaires techniques et financiers.

Après plusieurs négociations entre l’opposition et la mouvance présidentielle, la Guinée a sollicité, la médiation de la Communauté Internationale par un courrier adressé au Secrétaire Général des Nations Unions Unies. Ce dernier a désigné son Représentant Spécial Said Djinnit comme médiateur de la crise guinéenne. C’est dans ce contexte que l’accord politique du 3 juillet 2013 a été signé par tous les acteurs politiques pour la tenue des élections législatives le 24 septembre 2013.

Dans un souci d’accompagner le processus de gouvernance démocratique, le programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), la Commission Européenne, les partenaires au développement et le Gouvernement se sont engagés à appuyer les cycles électoraux sur la période 2010-2012. C’est dans ce contexte qu’une convention initiale est signée entre le PNUD et l’Union Européenne autour du «Projet Appui au Cycle Electoral?2010-2012».

Les composantes du projet sont organisées en trois phases?:

  • Composante «Support technique, opérationnel, et appui? financier à la CENI, au MATAP pour la mise en œuvre des opérations pré- électorales essentielles à l’organisation de deux scrutins pour 2010?» (élections présidentielles et législatives)
  • Composante «Appui financier et technique à l’organisation de scrutins de 2010 et la mise en œuvre des opérations électorales des échéances présidentielles et législatives»
  • Composante» Planification stratégique et appui au développement des capacités institutionnelles à long terme». Il s’agit des activités postélectorales de renforcement de capacités au cours du cycle électoral 2010-2012-activités à mettre en œuvre au-delà des évènements électoraux et/ou toutes autres consultations rendues nécessaires pendant ladite période.

L'objectif spécifique visé est de contribuer à un déroulement optimal des élections législatives à travers l’acheminement des matériels et équipements vers les bureaux de vote, la récupération et la sécurisation après le scrutin, dans la perspective de leur exploitation pour les futures échéances électorales, notamment les élections communales. Le projet encouragera également les partis politiques guinéens à travailler ensemble dans la planification et la mise en œuvre des efforts des délégués des partis politiques, de manière à réduire les tensions politiques, à accroitre la transparence électorale, et à renforcer la confiance du public dans les institutions démocratiques. A la phase préélectorale, le programme prévoit la réalisation d’un audit du fichier électoral ayant servi à l’élection présidentielle de 2010, le recrutement d’un expert logistique, le renforcement de la confiance des partis politiques et de l’électorat ainsi que la formation des agents des bureaux de vote.

Les bénéficiaires du projet sont in fine les partis politiques et les électeurs guinéens. Le PNUD sera responsable de la gestion et de la mise en œuvre des activités du projet. Dans ce cadre, il assure la contractualisation, la supervision générale des activités du projet, et la coordination avec les parties prenantes.

En définitive, après la convention de base initiale et les 3 avenants successifs ayant pris en compte de nouveaux besoins exprimés par la partie nationale, les composantes du projet se présentent comme suit:

  • Composante 1 – Ressources humaines;
  • Composante 2 – Equipements, matériels et fournitures;
  • Composante 3 – Formation;
  • Composante 4 – Visibilité et communication.

Ces quatre composantes couvrent huit activités principales qui sont:

  • La vérification du fichier électoral ayant servi à l’organisation des élections présidentiellesde 2010;
  • Le recrutement d’un expert logistique pour déploiement, la récupération, la sécurisation et le stockage du matériel électoral;
  • Le renforcement des capacités des coalitions des partis politiques guinéens en planification stratégique, recueille, analyse et l’utilisation convenable et efficace des informations le jour de l’élection;
  • La formation des agents de bureaux de vote;
  • L’impression et l’acheminement des bulletins de vote vers les ambassades de Guinée à l’étranger;
  • La dotation des agents de la FOSSEL de signes distinctifs et de matériels conventionnels de protection;
  • Le renforcement des capacités législatives de l’Assemblée?Nationale (légistique);
  • La mise en place et l’opérationnalisation des Centres d'Education Civique et Electorale.

Duties and Responsibilities

Objet de l’évaluation

L’objectif de l’évaluation est de faire le bilan analytique de la progression vers l’atteinte des effets escomptés et des changements opérés notamment dans les zones d’intervention du projet. Elle devra permettre au PNUD et au Gouvernement de disposer des informations descriptives et analytiques sur la conception et la mise en œuvre du projet, de formuler des recommandations pertinentes. Cette évaluation permettra d’apprécier les efforts conjoints du Gouvernement et des partenaires en faveur des différentes cibles et bénéficiaires.

Il s’agit d’une évaluation externe indépendante finale qui permettra de:

  • analyser la pertinence, l'efficacité, la cohérence et la durabilité dans la réalisation de résultats convenus des projets et leur contribution à la qualification du processus électoral sur 3 phases ?(avant, pendant et après scrutin)
  • ressortir et évaluer les résultats obtenus;
  • identifier les principales contraintes rencontrées;
  • documenter les leçons apprises et faire des recommandations pour surmonter les difficultés dans le cadre d’une nouvelle programmation;
  • évaluer le cadre de mesure des résultats;
  • évaluer la mobilisation de ressources;
  • Assurer que le Projet soit sensible au genre et adhère aux principes des droits humains et de mise en œuvre des arrangements.

Portée de l’Evaluation et Objectifs.

L’objectif principal de cette évaluation est de permettre au management du PNUD, ?au bailleur (Union Européenne, au Gouvernement), aux gestionnaires du projet de disposer de recommandations stratégiques et pratiques issues des leçons apprises ainsi que des expériences, utiles à partager avec toutes les parties prenantes. La couverture géographique est à l'échelle nationale.

Questions relatives à l’évaluation

De manière plus spécifique, l’évaluation va aborder les questions suivantes au regard des principaux critères d’évaluation que sont la pertinence du programme, son efficience, son efficacité, la durabilité des résultats obtenus, leurs impacts, ainsi que la ou les stratégie(s) de partenariat. Les aspects transversaux tels que le genre, les droits humains devront aussi être abordés. Il s’agit aussi d’apprécier le degré d’implication et d’appropriation nationale de ce projet.

  • La pertinence

L’adéquation du projet entre le contenu de l’intervention du programme et les priorités nationales de la Guinée notamment en matière d’assistance électorale.

Il s’agit d’examiner si les objectifs et les résultats escomptés?sont pertinents par rapport aux priorités nationales, et s’ils sont clairs et réalistes au vu des ressources disponibles ?

En outre les interventions sont-elles pertinentes ? Les arrangements institutionnels prévus sont-ils adéquats par rapport aux enjeux ? Et enfin le cadre des résultats (indicateurs) défini est-il pertinent et adapté pour la mesure des résultats ? Quels sont? les points forts et les faiblesses au niveau de la conception ?

  • L’efficience?

La planification, la mise en œuvre et l’évaluation quantitative et qualitative des résultats tels que inscrits dans les documents de projet, le cadre de résultats, les plans de travail,?en rapport avec les résultats attendus et les ressources.?

Quel est le taux d’exécution au niveau global et par composante? Dans quelle mesure les ressources investies dans le cadre de la mise en œuvre de chaque composante ont-elles été utilisées de manière optimale au regard des résultats atteints ? Le projet a-t-il été géré de manière efficiente ? Les méthodes choisies pour l’exécution ont-elles permis d’atteindre les résultats attendus ?

  • L’efficacité?

Les résultats observés des activités financées par le projet sur les groupes cibles?et les institutions en termes de renforcement des capacités ainsi que des avantages et bénéfices produits par les projets.

Il est nécessaire de ressortir les principaux facteurs (positifs ou négatifs), internes ou externes au dispositif de mise en œuvre du projet qui ont pu limiter ou faciliter les progrès vers la réalisation des objectifs attendus.

- Quels progrès vers les résultats ont été réalisés?

- Dans quelle mesure les résultats du projet ont contribué à la réalisation des objectifs du projet?

- Quels sont les défis majeurs pour chaque composante du projet?

- Dans quelle mesure les résultats du projet ont contribué à l’Effet CPD concerné?

- Quels sont les facteurs externes qui ont contribué à la réalisation ou non de l’Effet?

- Quelles sont les principales difficultés rencontrées et lesquelles en sont les causes?

- Dans quelle mesure les structures de coordination mises en place dans le projet ont-ils fonctionné?

  • La durabilité

L’appropriation du concept et ses résultats par la CENI, l’Assemblée Nationale et les OSC et autres acteurs majeurs des élections en Guinée.?

  • Quel a été le degré d’appropriation de chaque composante par le Gouvernement?
  • A quel point les stratégies et les programmes de Coopération ont-ils été institutionnalisés?
  • Dans quelle mesure les changements positifs intervenus dans le domaine continueront-ils à l’avenir?
  • Dans quelle mesure les capacités nationales au niveau du Gouvernement, de la CNE, de la société civile et des communautés ont-elles été renforcées?
  • Les capacités développées et/ou renforcées ont-elles produit des effets durables?
  • La complémentarité, la collaboration et la synergie entre les partenaires au développement seront-elles durables?

Les effets du projet

Le changement ou l’effet immédiat que les bénéficiaires, les institutions partenaires et même les groupes non ciblés ont ressenti suite à la mise en œuvre de ce projet. Il s’agit des changements significatifs et durables, souhaités ou non souhaités, ayant un lien de causalité l’intervention du PACE.

  • Les stratégies de partenariat au sein du projet

C’est l’évaluation du partenariat dans la mise en œuvre du projet, y compris la coopération sud sud.

  • Les thèmes transversaux

Devront être évalués, la prise en compte des éléments transversaux les droits de l’homme et le genre. Il s’agit de voir dans quelle mesure le projet a- t- il contribué à la prise en? compte de la dimension genre ? Dans quelle mesure le projet a contribué à la promotion de la participation des femmes aux élections ? Que devons- nous faire mieux pour les prochains cycles électoraux ?

  • Recommandations

Sur les points ci-dessus cités, sur la base des leçons tirées et se référant aux documents programmatiques (UNDAF, CPD, aux priorités nationales définies) faire des propositions sur comment le PNUD devrait-il ajuster sa programmation, ses partenariats, ses stratégies de communication et de mobilisation de ressources, ses méthodes de travail et les arrangements de gestion qu’il exécute, pour assurer une meilleure efficacité et un plus grand impact de ses interventions.

Méthodologie

L’évaluation finale du PACE devra impliquer toutes les parties prenantes à savoir les bénéficiaires, les partenaires nationaux, les autres partenaires techniques et financiers. En particulier, elle sera basée sur?:

  • Une analyse documentaire à partir de tous documents de projets et rapports;
  • les rencontres et entretiens avec les acteurs concernés, les partenaires, les personnes ressources…?;
  • les questionnaires individuels ou de groupe (les techniques participatives ou toute autre méthode de collecte de l’information pertinente);
  • l’exploitation et l’analyse des informations collectées en vue de la production du rapport.

L’analyse des données couvrira toutes les activités soutenues par le PACE. Le Consultant devra présenter au commanditaire (le PNUD) sous forme de rapport initial, une méthodologie détaillée indiquant les différents outils et méthodes qui seront utilisés ainsi qu’un chronogramme pour la conduite de l’évaluation. Cette méthodologie devra être validée par le chargé de programmes gouvernance du PNUD.

L’équipe en charge de l’évaluation sera libre de discuter de toutes les questions qu’elle jugera nécessaire et qui pourrait l’aider à s’acquitter du mandat qui lui est confié. Elle ne pourra cependant, en aucun cas engager le PNUD ou le Gouvernement lors de ses entretiens.

Produits de l’évaluation

Le Chef de l’équipe d’évaluation doit préparer et livrer les produits suivants?:

  • Rapport initial (de démarrage): Ce rapport est attendu dans un délai de 4 à 5 jours après le démarrage de la mission. Il doit comprendre un plan détaillé de travail pour la mission, y compris les questionnaires, les questions spécifiques et un calendrier proposé pour délivrer les résultats de la mission. Une présentation de ce rapport initial doit être préparée et communiquée au chargé de programme Gouvernance;
  • Projet de Rapport d’évaluation: le Consultant international sera en charge de consolider les contributions de son équipe et de produire un draft de rapport cohérent suivant un schéma type que respectera le rapport final;
  • Rapport final?d’évaluation: le chef de l’équipe d’évaluation sera entièrement responsable de la finalisation du rapport en tenant compte de tous les commentaires reçus au cours de la validation du rapport provisoire. Ce rapport est le produit final attendu de cette évaluation finale. Il est un rapport analytique, complet et détaillé qui comprend sans toutefois se limiter aux parties suivantes?: (Résumé sommaire, Introduction, Description de l’intervention, Approche et méthodes d’évaluation, Analyse des données, Observations et conclusions, Recommandations, Enseignements tirés, Annexes du rapport).

Il ne s’agit pas d’un format prescrit mais d’un schéma type qui présente simplement une façon d’organiser les informations.

Competencies

  • Capacité de travailler de façon autonome, planifier, hiérarchiser et livrer les tâches dans les délais impartis;
  • Bonnes connaissances sur les questions de gouvernance démocratique, renforcement de la veille citoyenne et d’observation électorale domestique notamment en période électorale;
  • Bonne connaissance sur les aspects de réconciliation nationale et de consolidation de la paix mettant l’accent sur le genre et le renforcement des femmes dans la vie politique;
  • Aptitude démontrée dans la réflexion analytique;
  • Excellentes capacités d'organisation, de rédaction et de rapportage.

Required Skills and Experience

Etudes :

  • Master en économie, sociologie, relations internationales.

Experience :

  • Quinze (10) ans d’expériences en matière de gestion du développement dont au moins 15 ans dans l’évaluation de programmes et des projets notamment dans des pays en développement.

Langues:

  • Français et Anglais.

L’appel à candidature est ouvert à tout Consultant International ayant une expérience dans l’évaluation des politiques publiques?; et pouvant fournir le minimum de compétences requises (Expert International) TDRs.

Les dossiers de candidatures doivent être composés comme suit:

Offre technique:

  • la lettre de soumission
  • la note de compréhension de la mission;
  • la note méthodologique détaillée ;
  • le chronogramme détaillé de la mission;
  • les CV et ou formulaires P11 des nations unies;
  • Les références techniques pour les missions similaires
  • les références techniques des consultants sur les missions similaires.

Offre financiere ( voir le model dans les TDRs en PJ)

NB tout dossier incomplet sera rejeté.

Constitution des offres et méthode d’évaluation

Les offres seront constituées d’une offre technique et d’une offre financière. L’offre technique doit contenir une description précise de la compréhension de la mission, le CV détaillé du consultant et les attestations de missions similaires. L’offre financière prendra seulement en compte le taux d’honoraire.?

L’évaluation des offres se fera selon la méthode combinée (technique et financière).

Evaluation technique

L’évaluation des offres se fera sur la base de la grille d’évaluation technique suivante?:

Projet de plan de Travail, approche méthodologique et chronogramme (50 points)

  • La méthodologie développée et la modalité de mise en œuvre sont clairement énoncées et conformes aux orientations des TDR (20 points);
  • Les activités proposées sont cohérentes et réalistes? (10 points);
  • Les produits à livrer aux différentes étapes du processus sont compris et spécifiés (10 points);
  • L’échéancier de réalisation fait preuve de réalisme ? (10 points);

Expérience et réputation des experts? (40 points)

  • Le consultant international doit disposer d’un niveau master en économie, sociologie, relations internationales, études de développement (10points) ;
  • Le consultant international dispose d’au moins 10 ans d’expérience, notamment 5 ans en matière d’évaluation des projets et projets de développement (10 points) ;
  • Le consultant international dispose de deux expériences, pertinentes en matière d’évaluation des projets de coopération et de développement en général (15 points) ;
  • Le consultant international a une expérience antérieure dans la réalisation d’évaluations similaires de projets d’appui au cycle électoral au cours des 05 dernières années (5 points).

Réputation et Expérience du Consultant? (10 points)

  • Expérience générale du consultant? (10 points).

La note minimale pour la qualification technique est de 70 points sur 100.

La méthode combinée (70% pour l’offre technique et 30% pour l’offre financière) sera retenue pour la sélection finale.

Evaluation Financière

La formule utilisée pour déterminer les scores financiers est la suivante :

Sf=100 x Fm /F, où Sf est le score financier, Fm est la proposition la mieux disant et F le prix de la proposition considérée.

Evaluation finale

La notation finale sera la moyenne pondérée de la note technique et de la note financière avec les coefficients de pondération suivants: score technique (70%) et score financier (30%);

Les pondérations attribuées aux propositions techniques et financières sont :

T= 0,70 et F=0,30.

Les dossiers de soumission doivent être reçus au plus tard le 11 septembre 2017.

NB: Les candidats résidents hors de la Guinée ou désireux postulés en ligne peuvent remplir directement leur application et vérifier qu'ils ont attaché les documents nécessaires relatifs à cet appel à candidature ou les envoyés en ligne à ic.offres.gn@undp.org

Les candidatures doivent contenir un CV et / ou P11, une offre technique et une offre financière et doivent arrivées avant la date et l'heure limites indiquées.