Background

Introduction

Ce document présente le mandat pour l’examen à mi-parcours du PNUD-GEF relativement au projet  de grande envergure intitulé « Réduire la vulnérabilité des communautés locales aux risques additionnels causés par les changements climatiques et renforcer leur résilience en mettant l’accent sur les secteurs de la gestion des ressources naturelles dans le corridor forestier de la Boucle du Mouhoun et des zones humides du bassin de la Mare d’Oursi » (n° PIMS 4598), mis en œuvre par le Ministère de l’Environnement et du Développement Durable (actuel Ministère de l’Environnement de l’Economie Verte et du Changement Climatique), Secrétariat Permanent du Conseil National pour l’Environnement et le Développement Durable (SP-CONEDD) – [actuel Secrétariat Permanent du Conseil National pour le Développement Durable (SP-CNDD)], qui doit être réalisé en année six (6) ans. Le projet a été lancé le 08 Janvier 2015 et se trouve dans sa troisième année de mise en œuvre. Conformément aux Directives du PNUD-GEF relatives à l’examen à mi-parcours, le processus d’examen à mi-parcours a été entamé avant la présentation du deuxième Rapport de mise en œuvre de projets (PIR). Le présent mandat énonce les éléments à prendre en compte dans le cadre de l’examen à mi-parcours. Le processus d’examen doit suivre les directives figurant dans le document Directives pour la conduite d’examen à mi-parcours des projets appuyés par le PNUD et financés par le GEF (http://web.undp.org/evaluation/guidance.shtml#gef).

 

Informations générales sur le projet

Le projet été mis au point pour : Répondre aux changements climatiques et à leurs conséquences sur les populations du Burkina Faso. A cet effet, Le Gouvernement Burkinabé, avec l’appui du PNUD, a élaboré le Projet « Adapter les moyens de subsistance dépendant des ressources naturelles aux risques induits par le climat dans les paysages du corridor forestier de la Boucle du Mouhoun et des zones humides du bassin de la Mare d’Oursi au Burkina Faso » (EBA-FEM).

Le projet a pour objectif, de réduire la vulnérabilité des communautés locales aux risques additionnels posés par les changements climatiques et de renforcer leur résilience en mettant l’accent sur les secteurs de la gestion des ressources naturelles dans le corridor forestier de la Boucle du Mouhoun et les zones humides du bassin de la Mare d’Oursi. Il doit s’exécuter à travers trois (3)   Composantes opérationnelles  : Plate-forme de soutien de la connaissance sur les impacts et les risques du changement climatique,  Réduction de la vulnérabilité et renforcement de la résilience démontrés dans la gestion des atouts naturels et sociaux dans le Corridor Forestier de la Boucle du Mouhoun et des zones humides du bassin de la mare d’Oursi, ,Intégration de l’adaptation au changement climatique dans la planification et le financement du développement local et régional .

De façon spécifique, le projet vise à :

  • Mettre en œuvre  des mesures d’adaptation et d’atténuation des changements climatiques ;
  • Elaborer des solutions aux niveaux national et sous-national pour la gestion durable des ressources naturelles, des services écosystémiques, des produits chimiques et des déchets;
  • Activer les cadres, les politiques et les institutions juridiques et réglementaires, pour assurer la conservation des ressources naturelles, de la biodiversité et des écosystèmes, ainsi que leur utilisation durable.

Les présents termes de référence sont élaborés pour une évaluation à mi-parcours du projet.

Objectifs de l'examen à mi parcours

L’examen à mi-parcours évaluera les progrès accomplis vers la réalisation des objectifs et des résultats du projet, tels qu’énoncés dans le Document de projet, et mesurera les premiers signes de réussite ou d’échec du projet, de manière à définir les changements qu’il faut opérer pour remettre le projet sur la voie de la réalisation des résultats escomptés. L’examen à mi-parcours examinera aussi la stratégie du projet et les risques concernant sa durabilité.

Approche et méthodologie

L’examen à mi-parcours doit fournir des informations fondées sur des données factuelles crédibles, fiables et utiles. L’équipe chargée de l’examen examinera toutes les sources d’informations pertinentes, y compris les documents élaborés pendant la phase de préparation du projet(par exemple, Fiche d’identité du projet (FIP), Plan d’initiation du projet du PNUD, Politique de sauvegardes environnementales et sociales du PNUD, le Document de projet, les rapports de projets dont l’Examen annuel de projets/PIR, la révision des budgets du projet, les rapports d’enseignements tirés, les documents stratégiques et juridiques nationaux, et tout autre matériel que l’équipe juge utile pour étayer l’examen). L’équipe chargée de l’examen à mi-parcours examinera l’outil de suivi de référence du domaine d’intervention du GEF présenté au GEF avec l’approbation du responsable, et l’outil de suivi à mi-parcours du domaine d’intervention du GEF qui doit être complété avant le début de la mission sur le terrain, conduite pour l’examen à mi-parcours. 

L’équipe chargée de l’examen à mi-parcours doit suivre une approche collaborative et participative[1] afin d’assurer une participation active de l’équipe du projet, des homologues gouvernementaux (le point focal opérationnel du GEF), des bureaux de pays du PNUD, des conseillers techniques régionaux PNUD-GEF, et autres parties prenantes principales.

La participation des parties prenantes est fondamentale à la conduite de l’examen à mi-parcours avec succès.[2] Cette participation doit consister en des entretiens avec les parties prenantes qui assument des responsabilités liées au projet, à savoir entre autres (cf Annexe 1) : organismes d’exécution, hauts fonctionnaires et responsables des équipe de travail/d’activités, principaux experts et consultants dans les domaines liés au projet, Comité de pilotage du projet, parties prenantes au projet, monde universitaire,  gouvernements locaux et les OSC, etc. En outre, l’équipe chargée de l’examen à mi-parcours doit conduire des missions sur le terrain à Dédougou (Région de la Boucle du Mouhoun), à Oursi (Région du Sahel) et à Ouagadougou, notamment sur les sites du projet suivants (cf. Annexe 2).

Le rapport final d’examen à mi-parcours doit exposer en détails l’approche appliquée pour l’examen, en indiquant explicitement les raisons ayant motivé cette approche, les hypothèses de départ, les défis à relever, les points forts et les points faibles des méthodes et de l’approche appliquées pour l’examen.

Portée détaillée de l'examen à mi parcours

L’équipe chargée de l’examen à mi-parcours évaluera l’évolution du projet dans les quatre catégories mentionnées ci-après. Veuillez consulter le document Directives pour la conduite de l’examen à mi-parcours des projets appuyés par le PNUD et financés par le GEF pour obtenir une description détaillée de ces catégories.

tratégie de projet

Conception de projet :

  • Analyser le problème auquel s’attaque le projet et les hypothèses de base. Passer en revue les conséquences de toute hypothèse erronée ou de tout changement contextuel sur la réalisation des résultats du projet tel qu’énoncés dans le Document de projet.
  • Examiner la pertinence de la stratégie du projet et évaluer si c’est le moyen le plus efficace d’atteindre les résultats escomptés. Les enseignements tirés d’autres projets pertinents ont-ils été convenablement pris en considération dans la conception du projet?
  • Étudier la façon dont le projet répond aux priorités du pays. Faire le point sur l’appropriation nationale. Le concept du projet est-il conforme aux priorités et plans nationaux pour le développement sectoriel du pays (ou des pays participants s’il s’agit de projets multi-pays) ?
  • Examiner les processus décisionnels : les points de vue des personnes qui seront concernées par les décisions du projet, de celles qui pourraient influer sur les résultats et de celles qui pourraient contribuer à l’information ou à d’autres ressources visant le processus, ont-ils été pris en considération pendant la conception de projet ?
  • Examiner la mesure dans laquelle les questions pertinentes en matière de genre ont été soulevées pendant la conception du projet. Voir annexe 9 des Directives pour la conduite de l’examen à mi-parcours des projets appuyés par le PNUD et financés par le GEF pour obtenir d’autres instructions.
  • Indiquer s’il y a des domaines de préoccupation majeure qui nécessitent des améliorations.

Cadre de résultats/cadre logique :

  • Procéder à une analyse critique des indicateurs et cibles du cadre logique du projet, évaluer la mesure dans laquelle les cibles à mi-parcours sont « SMART » (spécifiques, mesurables, réalisables, pertinentes et limitées dans le temps), et proposer des modifications/révisions spécifiques aux cibles et indicateurs lorsque nécessaire.
  • Les objectifs, résultats ou éléments du projet sont-ils clairs, applicables dans la pratique et réalisables dans les délais fixés ?
  • Examiner si les progrès réalisés à ce jour ont produit, ou pourraient produire à l’avenir, des effets bénéfiques pour le développement (par exemple, génération de revenus, égalité des sexes et autonomisation des femmes, meilleure gouvernance, etc...) qu’il faudrait intégrer au cadre de résultats du projet et suivre annuellement.
  • S’assurer que l’on suit efficacement les aspects généraux en matière de développement et de genre du projet. Mettre au point et recommander des indicateurs de développement « SMART », notamment des indicateurs ventilés par sexe et des indicateurs faisant apparaître les effets bénéfiques pour le développement.

Progrès vers la réalisation des résultats

Analyse de progrès vers les réalisations :

  • Passer en revue les indicateurs du cadre logique à la lumière des progrès accomplis vers la réalisation des cibles de fin de projet, à l’aide de la Matrice des progrès vers la réalisation des résultats et les Directives pour la conduite de l’examen à mi-parcours des projets appuyés par le PNUD et financés par le GEF ; les progrès sont indiqués par couleur selon le principe des « feux tricolores » en fonction du niveau de progrès obtenus pour chaque réalisation ; formuler des recommandations pour les secteurs entrant dans la catégorie « Ne sont pas en voie de réalisation » (en rouge).

 

[1] Pour avoir des idées de stratégies et techniques novatrices et participatives concernant le suivi et l'évaluation, veuillez consulter le document UNDP Discussion Paper: Innovations in Monitoring & Evaluating Results, 5 Nov 2013.

[2] Pour faire participer plus activement les parties prenantes au processus de suivi et d'évaluation, consultez le document du PNUD Guide de la planification, du suivi et de l'évaluation axée sur les résultats du développement, chapitre 3, page 93.

Duties and Responsibilities

Après analyse des progrès vers l’obtention des réalisations :

  • Comparer et analyser l’outil de suivi de départ du GEF avec celui réalisé juste avant l’examen à mi-parcours.
  • Identifier les obstacles entravant toujours la réalisation des objectifs du projet pour la période restante du projet.
  • En passant en revue les effets bénéfiques du projet à ce jour, définir les moyens par lesquels on pourrait accroître ces effets.

Mise en œuvre des projets et gestion réactive

Mécanismes de gestion :

  • Examiner l’efficacité globale de la gestion de projet telle qu’énoncée dans le Document de projet. Des changements ont-ils été apportés et sont-ils efficaces ? Les responsabilités et la structure hiérarchique sont-elles claires ?  Le processus décisionnel est-il transparent et entamé en temps utile ?  Recommander les améliorations à introduire.
  • Étudier la qualité d’exécution de l’organisme d’exécution/des partenaires de mise en œuvre et recommander les améliorations à introduire.
  • Étudier la qualité de l’appui fourni par l’organisme partenaire du GEF (PNUD) et recommander les améliorations à introduire.

Planification des activités :

  • Passer en revue tout retard intervenu dans le démarrage et la mise en œuvre du projet, définir ce qui a causé ces retards et voir si les causes ont été éliminées.
  • Les processus de planification des activités sont-ils axés sur les résultats ? Si non, proposer des moyens de réorienter la planification des activités de manière à ce qu’elle soit axée sur les résultats.
  • Examiner l’application du cadre de résultats/cadre logique du projet en tant qu’outil de gestion et examiner tout changement qui y a été apporté depuis le début du projet. 

Financement et cofinancement :

  • Etudier la gestion financière du projet, en s’attachant particulièrement au rapport coût-efficacité des interventions. 
  • Passer en revue tout changement d’allocations de fonds résultant de révisions budgétaires, et évaluer l’adéquation et la pertinence de ces révisions.
  • Le projet s’accompagne-t-il des contrôles financiers appropriés, notamment en matière de communication de données et de planification, permettant à la direction de prendre des décisions budgétaires éclairées et de verser les fonds en temps utile ?
  • Sur la base du tableau de suivi du cofinancement à remplir, formuler des commentaires sur le cofinancement : le cofinancement est-il stratégiquement appliqué pour contribuer à la réalisation des objectifs du projet ? L’équipe chargée du projet organise-t-elle régulièrement des réunions avec les partenaires de cofinancement en vue d’harmoniser les priorités de financement et les plans annuels de travail ?

Systèmes de suivi et d’évaluation au niveau du projet :

  • Examiner les outils de suivi actuellement utilisés : fournissent-ils les informations nécessaires ? Impliquent-ils la participation des principaux partenaires ? Sont-ils alignés sur ou intégrés dans les systèmes nationaux ?  Utilisent-ils les informations existantes ? Sont-ils efficients ? Sont-ils rentables ? D’autres outils sont-ils nécessaires ? Comment pourraient-ils être plus participatifs et plus inclusifs ?
  • Etudier la gestion financière du budget de suivi et d’évaluation du projet. Les ressources allouées sont-elles suffisantes pour le suivi et l’évaluation ? Ces ressources sont-elles efficacement allouées ?

Participation des parties prenantes :

  • Gestion des projets : les partenariats nécessaires et appropriés ont-ils été mis en place et renforcés avec des parties prenantes directes et indirectes ?
  • Participation et processus menés par les pays : les parties prenantes gouvernementales aux niveaux local et national appuient-elles les objectifs du projet ?  Jouent-elles toujours un rôle actif dans les décisions prises concernant le projet qui appuient l’efficience et l’efficacité de la mise en œuvre du projet ?
  • Participation et sensibilisation du public : dans quelle mesure la participation des parties prenantes et la sensibilisation du public contribuent-elles à faire progresser la réalisation des objectifs du projet ?

Communication de données :

  • Evaluer la manière à laquelle la direction du projet a fait part des changements découlant de la gestion réactive et les a notifiés au Comité de pilotage du projet.
  • Evaluer si l’équipe du projet et les partenaires se conforment comme il se doit aux exigences de communication de données du GEF (c’est-à-dire, les mesures prises pour donner suite à une mauvaise évaluation dans le PIR,  le cas échéant ?)
  • Evaluer la façon dont les enseignements tirés du processus de gestion réactive ont été étayés par des documents, communiqués aux principaux partenaires et intégrés par ces derniers.

Communication :

  • Examiner la communication interne avec les parties prenantes concernant le projet : la communication est-elle régulière et efficace ? Certaines parties prenantes principales sont-elles exclues de la communication ? Des mécanismes de retour d’informations existent-il dans le cadre de la communication ? La communication avec les parties prenantes contribue-t-elle à sensibiliser ces dernières aux réalisations et aux activités liées au projet, et aux investissements pour la durabilité des résultats du projet ?
  • Examiner la communication externe concernant le projet : des moyens de communication appropriés sont-ils en place ou en cours de mise en place, pour faire part au public des progrès accomplis dans le cadre du projet et de son impact escompté (existe-t-il un site Internet par exemple ? Ou le projet a-t-il mis en œuvre des campagnes appropriées de sensibilisation du public ?)
  • Aux fins de la communication de données, rédiger un paragraphe d’une demi page pour résumer les progrès accomplis vers la réalisation des résultats du projet, en matière de contribution aux effets bénéfiques pour le développement durable et aux effets bénéfiques pour l’environnement mondial.

Durabilité

  • Vérifier si les risques définis dans le Document du projet, l’Examen annuel du projet /PIR et le module ATLAS de gestion des risques sont les plus importants et si les évaluations des risques sont appropriées et à jour. Dans la négative, expliquer pourquoi.
  • En outre, évaluer les risques pour la durabilité dans les catégories suivantes :

Risques financiers pour la durabilité :

  • Quelle est la probabilité qu’il n’y ait pas de ressources financières et économiques disponibles après la fin de l’aide du GEF (considérer que les ressources possibles peuvent provenir de sources multiples, comme les secteurs public et privé, les activités génératrices de revenus, et autres financements pouvant être des ressources financières adaptées à la durabilité des réalisations du projet) ?

Risques socio-économiques pour la durabilité :

  • Existe-t-il des risques sociaux ou politiques susceptibles de menacer la durabilité des réalisations du projet ? Quel est le risque que le niveau d’appropriation par les parties prenantes (y compris par les gouvernements et autres parties prenantes principales) ne soit pas suffisant pour permettre de maintenir les réalisations/bénéfices du projet ? Les différentes parties prenantes principales ont-elles conscience qu’il est dans leur intérêt de maintenir les bénéfices du projet ? La sensibilisation du public/des parties prenantes est-elle suffisante pour appuyer les objectifs à long terme du projet ? L’équipe du projet étaye-t-elle par des documents les enseignements tirés en permanence, et ces documents sont-ils communiqués aux parties concernées, lesquelles pourraient apprendre du projet et potentiellement le reproduire et/ou le reproduire à plus grande échelle à l’avenir ?

Risques liés au cadre institutionnel et à la gouvernance pour la durabilité :

  • Les cadres juridiques, les politiques, les structures de gouvernance et les processus présentent-ils des risques qui pourraient menacer la durabilité des bénéfices du projet ? Lors de l’évaluation de ce paramètre, examiner également des systèmes/mécanismes exigés pour la responsabilité, la transparence et le transfert des connaissances techniques sont en place.

Risques environnementaux pour la durabilité :

  • Existe-t-il des risques environnementaux qui pourraient menacer la durabilité des réalisations du projet ?

Conclusions et recommandations

L’équipe chargée de l’examen à mi-parcours inclura un paragraphe dans le rapport, exposant les conclusions fondées sur des données probantes de l’examen à mi-parcours, à la lumière des résultats.[1]

Des recommandations seront formulées sous forme de propositions succinctes d’interventions fondamentales qui seront spécifiques, mesurables, réalisables et appropriées. Un tableau des recommandations devrait être joint au résumé du rapport. Veuillez consulter les Directives pour la conduite de l’examen à mi-parcours des projets appuyés par le PNUD et financés par le GEF pour obtenir des instructions sur le tableau des recommandations.

L’équipe chargée de l’examen à mi-parcours devra formuler 15 recommandations au maximum.

Évaluation

L’équipe chargée de l’examen à mi-parcours communiquera les évaluations faites des résultats du projet et fera une brève description des réalisations associées dans le Tableau de résumé des évaluations et réalisations dans le résumé du rapport de l’examen à mi-parcours. Voir l’annexe E pour consulter la grille des évaluations. Des évaluations de la stratégie du projet et du projet dans son ensemble ne sont pas exigées.

 

[1] Les conclusions de l'examen à mi-parcours peuvent aussi être intégrées dans le corps du rapport.

Competencies

  • Excellente aptitude à la communication ;
  • Compétences avérées en matière d’analyse ;
  • Compétences en gestion réactive, telle qu’appliquée aux Changements climatiques.

Required Skills and Experience

Education

  • Diplôme de Maîtrise en matière de gestion durable des ressources naturelles, en environnement, ou en sciences économiques, en planification du développement ou en gestion de projets ou diplôme équivalent, ou autres secteurs étroitement liés.

Expériences

  • Expérience professionnelle d’au moins 10 ans dans des secteurs techniques pertinents ;
  • Expérience récente dans les méthodologies d’évaluation de la gestion axée sur les résultats ;
  • Expérience dans l’application d’indicateurs SMART et dans le remaniement ou la validation des scénarios de départ ;
  • Compétences en gestion réactive, telle qu’appliquée aux Changements climatiques ;
  • Expérience dans la collaboration avec le GEF ou les évaluations du GEF ;
  • Expérience dans l’évaluation/la révision de projet dans le système des Nations Unies sera un atout ;
  • Expérience professionnelle et une connaissance approfondie des problématiques de dégradation et de gestion durable des ressources naturelles et d’adaptation et d’atténuation des changements climatiques dans les pays en développement ;
  • Compréhension avérée des questions liées au genre et aux Changements climatiques ; expérience dans l’évaluation et l’analyse tenant compte du genre.
  • Excellente aptitude à la communication ;
  • Compétences avérées en matière d’analyse ;
  • Expérience dans l’évaluation/la révision de projet dans le système des Nations Unies sera un atout ;

Langues

  • Parfaite maîtrise de l'anglais et du francais.

Dispositions particulières

La proposition technique devra comprendre : Une brève présentation de l’approche méthodologique et de l’organisation de la mission envisagée, une note de compréhension des tdrs, la méthodologie d’intervention ainsi que le programme de travail de la consultance, un curriculum vitae incluant au moins deux (02) références (inclure les adresses emails) . Les termes de références complets sont disponibles sur le site du PNUD à l’adresse : http://www.bf.undp.org/content/burkina_faso/fr/home/operations/procurement.html

  • La proposition financière sous forme de montant forfaitaire incluant les honoraires du consultant (détaillant le montant des indemnités journalières et le cout du billet d'avion), le nombre de jours de travail prévus et les frais divers. les propositions seront reçues a l'adresse offres.burkina@undp.org 

    NB  : Les candidatures ne comportant pas d'offres techniques et financières ne seront pas considérées.