Historique

Le Niger est un pays sahélien enclavé avec une superficie de 1,267,000 km carré et une population estimée à 19,1 millions d’habitants, dont la plupart (79%) vivent dans des zones rurales [1]. Le pays a un des taux de fécondité les plus élevés du monde (3,9%). La population est considérée jeune, parce que plus de 50% des Nigériens a moins de 18 ans. Presque la moitié de la population demeure pauvre, malgré une réduction du taux de pauvreté enregistré au cours de la dernière décennie. Le PIB du pays est estimé à 3.905.136 milliards de FCFA avec un revenu par habitant estimé à 228.900 FCFA et un taux de croissance annuel de plus 3.5%. Le secteur primaire contribue le plus à l’économie du pays à hauteur 49.5 % [2] suivi par le tertiaire à 41% et le secondaire à 19.5%. L’agriculture demeure le secteur le plus important dans l’économie nigérienne avec une contribution de 25% au PIB et 14.2% de la totalité des devises étrangères ainsi qu’à 80% d’emploi. En dépit de sa contribution à  l’économie du pays, ce secteur est d'abord fortement tributaire des conditions climatiques caractérisé par une forte aridité accentuée par des températures élevées, une variabilité spatio-temporelle et interannuelle très forte des précipitations ainsi que leur réduction (déplacement des isohyètes vers le Sud). À cela, il faut ajouter des pertes considérables d’eau dues au ruissellement et à l’évaporation à partir du sol et par percolation en profondeur. Ces facteurs, combinés aux facteurs climatiques, ont engendré de nombreuses sécheresses qui ont contraint les communautés rurales à migrer vers d’autres pays voisins comme le Nigéria, la Libye, l’Algérie, ou encore le Bénin. Cette migration n’est pas sans conséquence néfaste sur les couches vulnérables que sont les femmes et les jeunes hommes.

Le projet « Réduction des effets négatifs de la migration des femmes et des jeunes hommes en investissant dans leurs capacités productives dans le département de Kantché, Région de Zinder », financé par le gouvernement italien, envisage, par ses interventions, à améliorer les conditions de vie des populations bénéficiaires dudit département à travers les activités agricoles et commerciales et à rendre aussi la migration sûre pour les potentiels candidats à travers des séances de formation et de sensibilisation. Le choix de département de Kantché n’est pas fortuit, car il est l’une des localités du Niger les plus touchées par le phénomène de la migration irrégulière, notamment chez les femmes.

Pour atteindre cet objectif, l’approche définie par le projet s’inscrit dans une dynamique participative et itérative autour des filières agricoles porteuses qui va de la facilitation d’accès aux terres arables à leur sécurisation en passant par la mise en place des intrants et matériels adéquats pour la production, le stockage, la transformation, la conservation, et la commercialisation des produits bruts et finis.

Les assemblées générales tenues dans les communautés bénéficiaires ont permis de comprendre que les femmes et de jeunes hommes bénéficiaires ont une faible connaissance des techniques modernes de transformation, de conservation et de commercialisation des produits finis. En effet, les méthodes traditionnelles de transformation, comme le séchage au soleil, sont les plus utilisées. Celles-ci ne garantissent pas la qualité nutritionnelle et d’hygiène des produits transformés et n’attirent point la clientèle. La vente de ces produits se fait de façon individuelle dans les villages et marchés environnants à des prix bas ne permettant pas aux femmes de générer des bénéfices.

Le renforcement des capacités des groupements des femmes et des jeunes hommes dans la transformation agroalimentaire, l’emballage et l’écoulement des produits transformés est un résultat clé attendu de ce projet. Ces  trois (3) thématiques (on ne peut penser à la conservation et à la transformation des produits agroalimentaires, sans évoquer  la maitrise des techniques de commercialisation et le processus de normalisation des produits) étant complémentaires. Ces formations consacrant le   renforcement des capacités des coopératives des femmes et des jeunes hommes répondent à l’output 2 du projet « Les femmes et les jeunes hommes des zones rurales s'organisent et les femmes d'affaires ont accès à des marchés fiables pour leurs produits et la création d'emploi » dans le but de soutenir le développement communautaire et l’accroissement des revenus en vue d’atténuer les  risques de la migration irrégulière.

Les présents termes de référence sont élaborés dans le but de recruter un (e) consultant (e) spécialisé-(e) à même de renforcer en deux (2) ateliers les capacités des soixante (60) personnes, dont 40 femmes et 20 jeunes hommes, sur diverses thématiques liées aux opérations post-récoltes (transformation, stockage, conservation, emballage, labélisation, normalisation, commercialisation…). La durée de la mission est de trente-quatre (34) jours prenant en compte les jours de voyage,  de préparation, de facilitation des deux (2) ateliers et le rapportage. Notons que les ateliers de formation se dérouleront  dans le chef-lieu de la région de Zinder respectivement en Mai et Juin 2021.

[1] Institut National de la Statistique – Annuaire Statistiques 2016

[2] Institut National de la Statistique – Annuaire Statistiques 2016

Devoirs et responsabilités

Objectif Général

  • Contribuer au renforcement des capacités de soixante (60) membres des coopératives agricoles dans la zone d’intervention du projet en :
  • Technique de conservation et transformation des produits agro-alimentaires;
  • Techniques de commercialisation, d’emballage et de normalisation des produits transformés.

 Objectifs Spécifiques :

De façon spécifique, il s’agit de :

Former soixante (60) personnes, dont 40 femmes et 20 jeunes hommes, en technique de conservation et de transformation agro-alimentaires de niébé, sésame, mil, moringa, tomate et oignon ;

  1. Former soixante (60) personnes, dont 40 femmes et 20 jeunes hommes, en technique de de commercialisation, d’emballage, de labélisation et de normalisation de niébé, sésame, mil, moringa, tomate et oignon.

Les resultats attendus 

Au terme de cette activité, les résultats suivants sont attendus :

  1. Au moins soixante (60) personnes, dont 40 femmes et 20 jeunes hommes, membres des coopératives agricoles des 5 communes d’intervention du projet, ont les capacités renforcées en technique de conservation et de transformation des produits agro-alimentaires dans les filières de niébé, sésame, arachide, mil, moringa, tomate et oignon avec au moins 3 variétés de produits finis;
  2. Au moins soixante (60) personnes, dont 40 femmes et 20 jeunes hommes, membres des coopératives agricoles des 5 communes d’intervention du projet, ont les capacités renforcées en techniques de commercialisation, d’emballage et de normalisation de leurs produits.

Methodologie

Pour réaliser et atteindre les objectifs de cette activité, la méthodologie suivante sera adoptée :

Identification des femmes et jeunes hommes membres des coopératives pour participer aux ateliers de formation

En prélude à la première formation, ONU Femmes en collaboration avec les autorités communales, les services techniques départementaux et communaux, les leaders d’opinion, les bénéficiaires ainsi que l’ONG partenaire de mise en œuvre des activités du projet, procédera à l’identification de douze (12) participants par commune (huit (8) femmes et quatre (4) jeunes hommes). Des critères comme la disponibilité, les prérequis sur la transformation agro-alimentaire, la capacité de restitution, etc. seront utilisés lors du choix des personnes participantes à la formation. Ces mêmes personnes participeront aux travaux du second atelier pour mieux consolider les acquis et constituer un pool d’experts locaux en la matière. Le/la consultant (e) retenu-e pour la prestation assistera les participants dans l’élaboration de plan de restitution des acquis au profit des autres membres dans leurs communes respectives.

Développement des modules de formation par thématique par le/la consultante

Les ateliers de formation des formateurs destinée au renforcement des capacités de quarante (40) femmes et vingt (20) jeunes hommes, membres des coopératives agricoles identifiées dans les cinq (5) communes d’intervention du Projet s’articulera sur les thématiques principales ci-après. 

  • Premier atelier de formation (Mai 2021)

La première thématique concernera le renforcement des capacités des femmes et jeunes hommes, membres des coopératives, sur les techniques de conservation et de transformation agroalimentaire. Elle consistera à montrer aux apprenants les mécanismes et procédures de conservation et de transformation des trois  (3) produits agricoles (à savoir niébé, sésame et moringa ) tout en leur rappelant l’importance capitale de cette activité pour eux d’abord (amélioration des revenus et autonomie économique), pour l’économie de leurs communes respectives et pour le pays de façon générale.

La deuxième et troisième thématique se penchera sur l’explication et la démonstration des techniques de commercialisation, d’emballage, ainsi que sur le processus de conformité aux exigences et normes standard du marché afin que les produits soient plus compétitifs et puissent s’exporter.

  • Deuxième atelier de formation (Juin 2021)

Cet atelier de formation permettra de faire le suivi et la consolidation des acquis du premier atelier. Il doit permettre de montrer aux apprenants de façon pratique, les mécanismes et procédures de conservation et de transformation de trois (3) produits agricoles dont la tomate, le mil et l’oignon. Ce serait aussi une opportunité de les renforcer sur les techniques de commercialisation, d’emballage, ainsi que sur le processus de conformité aux exigences et normes standard du marché afin que ces trois (3) produits soient plus compétitifs et puissent s’exporter.

Formation des formateurs

Les deux (2) formations seront une formation des formateurs. Les soixante (60) participants, membres des coopératives agricoles identifiées, suivront conformément au calendrier ci-dessus, deux (2) ateliers de formation intenses sur trois (3) thématiques. Les femmes et les jeunes hommes ainsi outillés devraient être en mesure de former à leur tour, une fois dans leurs communes respectives, leurs pairs (membres des coopératives identifiées et autres) et d’intervenir éventuellement partout où ils  seraient sollicitées en cas de besoin. Ils porteront alors les robes des formatrices/formateurs sur les thématiques, objet de la formation, qu’ils auront reçue.

Démultiplication de la formation au profit des membres

Les soixante (60) participants, membres des coopératives formées, seront invités à organiser des séances de restitution et de formation à l’endroit de leurs collègues membres (qui n’ont pas bénéficié de cette formation) des coopératives agricoles sur les trois (3) thématiques, objet de leur formation. Ces restitutions se feront dans chacune des cinq (5) communes d’intervention du projet suivant un plan qui sera établi, développé et mis en œuvre par ces membres formés dans leurs communes respectives.  Ces plans sont à développer par les participants avec l’appui technique de la/le consultant retenu pour la prestation. La mise en œuvre des plans d’actions de restitution sera suivie par ONU Femmes et l’ONG Garkua son partenaire d’exécution.

Participants aux deux (02) ateliers de formation des formateurs

Les ateliers de formation des formateurs sur les thématiques est destinée à soixante (60) personnes réparties comme suit :

Communes

Nombre de femmes participantes

Nombre de jeunes hommes participants

Total par commune

Dan Barto

8

4

12

Daouché

8

4

12

Ichirnawa

8

4

12

Kourni

8

4

12

Matameye

8

4

12

Total Général

40

20

60

Autres participants aux formations

En plus des soixante (60) participants ci-dessus, trois (3) femmes dynamiques issues d’une union ou fédération de la région de Zinder agréée dans la transformation agro-alimentaire seront identifiées de concert avec la Direction régionale de la Promotion de la Femme/Protection de l’Enfant. Cette participation, d’une part, renforcera la visibilité d’ONU Femmes dans la région. D’autre part, ces femmes pourront au besoin appuyer la démultiplication des formations reçues dans les cinq (5) communes d’intervention du projet.

Dans le cadre de cette prestation, la/le consultant (e) est responsable de :

  • Elaboration des modules de formation correspondant aux six (6) produits à transformer ;
  • Partage et validation des modules élaborés avec l’équipe du projet ; 
  • Elaboration de chronogrammes détaillés des deux (2) ateliers de formation des formateurs
  • Fourniture de la liste détaillée de matières premières et petits matériels pour les deux (2) ateliers de formation des formateurs (donner l’utilité et la spécification technique de chaque matière et matériel),
  • Formation des soixante (60) formateurs sur les modules validés ;
  • Fourniture des échantillons des produits finis issus des six (6) produits transformés ;
  • Elaboration et finalisation du rapport des formations en intégrant les amendements formulés par ONU Femmes ;
  • Transmission du rapport final de l’étude en version World et électronique avec des images.

 

5.    LIVRABLES ATTENDUS DE LA/LE CONSULTANT (e)

Pour cette étude, cinq (5) livrables sont attendus de la/le consultant (e) :

  1. Les modules de formation correspondant aux six (6) produits à transformer ;
  2. Une présentation de la méthodologie proposée par la/ le consultant (e) pour les deux (2) formations;
  3. Les échantillons des produits finis issus des six (6) produits transformés;
  4. Un rapport provisoire de l’étude, en français, édité, 7 jours après la fin de la mission sur le terrain sous format Word en électronique contenant des images illustratives prises pendant les sessions de formation ;
  5. Un rapport final de l’étude en français, édité, sous format Word en électronique tenant compte des observations et des recommandations d’ONU Femmes et des partenaires. La/le  consultant (e), aura quatre (4) jours pour intégrer les modifications et transmettre le rapport définitif.

 

6.   DUREE DE  LA FORMATION

Les deux (02) ateliers de formation des formateurs se tiendront sur douze (12) jours en raison de six (06) par séance. Le premier se tiendra en Mai  2021 et le second en juin 2021.

Dans le cadre de cette prestation, la/le consultant (e) est responsable de :

  • Elaboration des modules de formation correspondant aux six (6) produits à transformer ;
  • Partage et validation des modules élaborés avec l’équipe du projet ; 
  • Elaboration de chronogrammes détaillés des deux (2) ateliers de formation des formateurs
  • Fourniture de la liste détaillée de matières premières et petits matériels pour les deux (2) ateliers de formation des formateurs (donner l’utilité et la spécification technique de chaque matière et matériel),
  • Formation des soixante (60) formateurs sur les modules validés ;
  • Fourniture des échantillons des produits finis issus des six (6) produits transformés ;
  • Elaboration et finalisation du rapport des formations en intégrant les amendements formulés par ONU Femmes ;
  • Transmission du rapport final de l’étude en version World et électronique avec des images.

 

 7.    SOUMISSION DE LA CANDIDATURE

Le/la consultant/e doit fournir un dossier composé :

  • Un dossier qui décrit la méthodologie de travail, les outils, les différentes étapes ainsi que le planning pour l’exécution des deux (2) formations de formateurs. Elle doit également spécifier les trois types de produits finis et d’emballage/étiquetage pour chacun des six (6) produits agricoles cités plus haut ainsi que la stratégie d’appui pour les rendre plus compétitif sur le marché national, régional et international. Il doit fournir la liste détaillée de  matières premières et petits matériels de transformation nécessaires aux 2 ateliers de formation des formateurs. Pour les matières premières et les petits matériels de transformation, la/le consultant (e) doit fournir une liste détaillée indiquant les quantités et les spécifications techniques pour chaque type. L’achat de ces matériels et équipements sera  assuré par ONU Femmes à travers son procurement.  Ces matériels seront, après les formations, remis aux participants pour des utilisations ultérieures dans leurs communes respectives.
  • Un curriculum vitae à jour où la/le consultant (e) précisera ses années d’expériences dans le domaine, les types d’appuis similaires conduits, les périodes d’exécution, les commanditaires et leurs références (titres, numéros de téléphone, courriel).

Compétences

Valeurs fondamentales :

  • Respect de la diversité
  • Intégrité
  • Professionnalisme

Compétences de base :

  • Sensibilité aux questions de genre
  • Responsabilité
  • Réflexion stratégique
  • Une communication efficace
  • Collaboration inclusive
  • Engagement des parties prenantes

Compétences fonctionnelles

  • Une expérience significative dans la conduite de missions similaires avec les agences du système des Nations Unies ou des ONG internationales 
  • Compétences avérées en formulation des projets et Programmes et suivi évaluation
  • Une bonne connaissance des zones d’interventions du projet et du fonctionnement des institutions 
  • Faire preuve de pédagogie 

Qualifications et expériences requises

Pour mener à bien les tâches décrites dans ces termes de référence, le/la consultant/e doit être  international-e. Elle/il doit avoir les qualifications suivantes :

  • Formation : Niveau Bac+5 ans en transformation agro-alimentaire, Agroéconomie, Agronomie, Agro-industrie, Développement ou tout autre domaine similaire ;
  • Expériences de 8 ans d’expériences dans la transformation agro-alimentaire
  • Expérience de 5 ans dans la formation des adultes sur la transformation agro-alimentaire, l’emballage, l’étiquetage et la commercialisation des produits finis;
  • Être entièrement disponible durant la réalisation du contrat ;  
  • Très bonne maîtrise de la langue française écrite et orale ;
  • La connaissance de la région de Zinder et de la langue Hausa serait un atout.

Par ailleurs, le/la consultant/e devra s’engager à respecter les critères d’éthique suivants :

  • Une prestation complète et systématique : la /le consultant (e) doit profiter au maximum de l’information et de tous les participants pendant les formations. Il doit avoir les capacités, les compétences et l’expérience nécessaires pour exécuter les tâches proposées et devra les mettre en pratique dans les limites de ses compétences et de sa formation professionnelle. Il doit également communiquer ses méthodes et approches avec précision, pour permettre à toute personne externe de pouvoir comprendre, interpréter et critiquer son travail ;
  • Honnêteté et intégrité : la/le consultant (e) doit être transparent-e avec le commanditaire sur tout conflit d’intérêt, toute modification apportée à la prestation négociée au préalable et les raisons pour lesquelles ces modifications ont été apportées, tout risque lié à certaines procédures ou activités qui pourraient produire des informations trompeuses ;
  • Le respect des personnes : la/le consultant (e) doit respecter la sécurité, la dignité et les valeurs des participant-e-s aux deux (2) ateliers de formation des formateurs. La/le consultant (e) a la responsabilité d’être sensible au genre et de respecter les différences entre les participants dans la culture, la religion, le sexe, le handicap, l’âge et l’origine ethnique.

EVALUATION DES DOSSIERS DE CANDIDATURE

Le nombre total de points attribués pour la composante de qualification des candidatures est de 100, sur la base des critères d'évaluation de la qualification suivants :

Critères d’évaluation des dossiers de candidature

Note total

Diplôme

  • Niveau Bac+5 ans en transformation agro-alimentaire, Agroéconomie, Agronomie, Agro-industrie, Développement  ou tout autre domaine similaire 

10%

  1. Le dossier de candidature décrira :
  • La méthodologie de travail, les outils, les différentes étapes ainsi que le planning pour l’exécution des deux (2) formations de formateurs.
  • Les trois (3) types de produits finis et d’emballage/étiquetage pour chacun des six (6) produits agricoles cités plus haut
  • La stratégie d’appui pour rendre les produits finis plus compétitif sur le marché national, régional et international.

50%

A) Expérience et compétences du consultant indiqué dans le CV

  • Expériences de 8 ans d’expériences dans la transformation agro-alimentaire,
  • Expériences de 5 ans dans la formation des adultes sur la transformation agro-alimentaire,
  • Expériences de 5 ans dans l’appui aux associations coopératives dans  l’emballage, l’étiquetage et la commercialisation des produits finis.

30 %

  1. Langue et capacités rédactionnelles
  • Très bonne maîtrise de la langue française écrite et orale ;
  • La connaissance de la région de Zinder et de la langue Hausa serait un atout.

10 %

Note totale

100 %

 DEPOT DES CANDIDATURES

Les dossiers de candidature doivent être déposées en version hard avec en objet la mention « soumission –Formation transformation agro-alimentaire – WEE Zinder » au plus tard le Jeudi, 15 Avril 2021 à 16 h 00 au bureau de ONU Femmes Niger, cité STIN, Rue pharmacie Sayé, BP : 11207 ; Téléphone : +227 9697-8198

ou par email à l’adresse mail ci-après : abdoulaye.kassoum@unwomen.org